Les cendres sont dispersés aux quatre vents
Attrapé par les saisonniers au fil du temps
M’ont chacun récité les contes des mois
Une magie commencent par : « Il était une fois »
Il était une fois le bonheur du printemps
Les feuilles, les fleurs tous ensemble chantant
La brise, la pluie , les rivières de miel
Me laissèrent un sourire quand arriva le soleil
Il était une fois le brillant été
La chaleur, la lumière de tous ses saisonniers
Leur chant et leur danse à l’image des flammes
Paradis infernal qui n’aide point la future dame
Il était une fois les larmes d’automne
Où tous les habitants sont las et monotone
La brume de l’âme tombe quand le ciel pleur
Plus de chant, plus de danse et l’horizon se meurt
Il était une fois le funèbre hiver
Un manteau de tristesse s’étend sur terre, ciel et mer
La nature s’est mise en veille toute drapé de blanc
Les cendres se rassemblent à la jointure des quatre vents
Aujourd’hui je relis le vent de ma partition
Ecrite pas les saisonniers, les maestros des saisons
Enfermer dans un livre à la magie d’autrefois
La puissance d’une phrase qu’on nomme : « IL était une fois »